• Connaissant l'attirance des garçcons pour tout ce qui vole, j'avais noté la présence d'un musée de l'air à 사천, derrière l'usine numéro 1.

    Au final, plutôt un musée de la guerre montrant en statique les appareils ayant participés à la guerre de Corée qu'un musée de l'air, et plutôt petit pour quelqu'un ayant vu Le Bourget. En plus, pour ce qui est des vitrines, des deux salles en intérieur, celle sur l'histoire de l'aviation était en travaux, donc il ne restait plus que celle sur la guerre.

    Bon au rayon des avantages, ce n'est pas cher (1000 par adulte) et ce n'est pas loin, et on peut voir quelques statiques sympas comme ce B29.


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  • Dimanche dernier, on avait décidé de manger ce qu'on trouverait en passant.

    La boutique du musée ne nous inspirant pas, on est reparti vers le centre, et finalement, on s'est arrêté juste en face de l'usine 2, attirés par le moulin à eau qui ornait la facade du restaurant.

    Pas de carte, (où alors en pur Coréen, allez savoir), donc on rentre au hasard.
    En voyant dedans une liste de prix, petit étranglement, le prix des plats oscille entre 30 000 et 50 000.
    Maintenant qu'on est rentré, comme on est poli, on reste...

    Au final, que des bonnes surprises :
    - C'est bon (canard, légumes, condiments et soupe), pas inoubliable pour des français mais bon,
    - Le cadre est typique (assis par terre, séparés des autres par des cloisons amovibles),
    - Les gens sont gentils (notament, conseil d'un plat pas trop épicé pour les enfants),
    - Et le prix final sera de 25 000 pour quatre ! On avait un plat à 30 000 pour deux, les garçons se le sont partagés avec nous sans supplément (et sans tricher, ils avaient leurs bols et leurs couverts), et on n'a pas pris le café donc voilà... Si on prend des habitudes comme ça, le retour en France va être rude...

    On reviendra !


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  • Petits problèmes dus à la constipation pour Julien.
    Rien de bien grave, mais visites à l'hôpital de 사천 (qui est en fait une petite clinique) pour vérifier et le faire soigner.
    "Papa, il ne va pas me faire de piqûre, le docteur ?"
    "Mais non, on ne fait pas de piqûre pour ça..."

    Et presque à chaque fois, le même scénario :
    "Ce n'est rien, on va juste faire une petite intramusculaire (!) et vous donner trois jours de médicaments, revenez dans trois jours si ce n'est pas complètement guéri."
    Et fume pour savoir ce qu'il y a dans l'intramusculaire, ou dans la poudre d'ailleurs puisque c'est une préparation effectuée sur place. Moi qui aime bien qu'on m'explique... Heureusement, Julien a supporté ça courageusement, lui.

    Au bout de trois visites avec deux piqûres, on a décidé qu'on n'allait pas faire subir ça à Julien tous les 3 jours, qu'il y avait erreur de traduction et qu'il ne fallait revenir que si il n'y avait aucune amélioration: on continue donc la pommade à la maison, et tant pis pour la poudre.


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